03/12/12

Un mari soumis, une Femme épanouie / 8 / chapitre 6


Chapitre 6 : Punir

Quand punir un mari amoureux et soumis ? Quel(s) est/sont le(s) but(s) de(s) punition(s) ? Pourquoi le punir est nécessaire et pourquoi est-il nécessaire de bien le punir ? Quelles sortes de punitions lui infliger ? Punitions passives et punitions actives. Que faire pour éviter toute discussion et tentative de se soustraire à une punition ?


Fondamentalement, une punition est prévue pour empêcher un certain mauvais comportement. Si le sujet sait que la punition est certaine et désagréable ou difficile à endurer, il fera de tout pour l'éviter. Mais il n'y a pas que ça. On peut punir dans d'autres buts, plus subtiles. Et au fil du temps, les punitions changent.

Le fait que le mari s'assujettisse aux règles et aux punitions de sa femme bienaimée volontairement montre qu'il veut bien faire amende honorable et rétablir le déséquilibre qui s'installe, quand une faute est commise. Or, il est difficile d'être toujours bien obéissant, malgré la volonté du soumis de l'être. Les punitions aident un mari à devenir et rester obéissant.
Psychologiquement, c'est un moyen pour le coupable de se débarrasser de sa faute (et pour la maîtresse de rendre la justice). L'administration de la justice ne doit jamais se faire en colère, même si une fois la justice rendue la maîtresse sentira disparaître les sentiments négatifs éprouvés lors des actes fautifs du soumis. Surtout, l'administration de la justice pose un point final à l'incident. Il n'y a pas de ressentiments qui persistent et les deux parties peuvent regarder vers l'avant le cœur net.

Dans une relation volontaire de soumission et chasteté d'un mari amoureux, la punition assure également, d'une façon certaine et rapide, la position de supériorité de la Femme. Cette garantie est tangible, alors qu'aucune théorie ne pourrait jamais l'être. C'est extrêmement important de bien punir car une mauvaise punition serait une offense au sens de la justice que les parties gardent à tout moment dans leur esprit. La punition doit être proportionnelle à l'offense, immédiate (au moins dans son annonce) et capable de marquer la conscience du mari afin qu'il ne veuille plus commettre la faute. La punition est un passage nécessaire pour une avancée dans le dressage du mari.

Il existe différentes classifications des punitions. Une classification qui nous intéresse, vu l'esprit du dressage focalisé sur la chasteté, entend 3 sortes de punitions :

A) Perte d'une opportunité d'orgasme prévue
B) Punition corporelle
C) Punition spécifique adaptée à la faute commise

Je vais expliquer comment ces punitions peuvent renforcer la relation du couple tout en réaffirmant l'autorité de la Femme.

La première sorte s'applique principalement et automatiquement en cas d'orgasme non autorisé. Et en ce cas, elle s'applique doublement. Que ce soit seul ou en présence de sa Femme, si le mari est sur le point de jouir, il doit toujours avertir sa Femme et attendre son autorisation. S'il ne le fait pas, n'obtient pas l'autorisation et il jouit, il perd 2 opportunités d'orgasme car l'une compense celle qu'il vient de prendre sans autorisation, l'autre est la vraie punition. Elle ne s'applique pas doublement dans les autres cas de faute. Lorsque par ex. il diminuerait ses attentions vers la Femme, suite à un orgasme (autorisé).

La deuxième sorte est simple à comprendre mais ne sera efficace qu'en suivant certaines règles. Toute punition corporelle doit premièrement être significative. Il n'est pas nécessaire qu'elle soit très douloureuse (sauf dans les cas prévus), mais non plus à l'eau de rose, sinon elle est inutile. Personnellement, j'opte presque toujours pour des punitions un peu douloureuses (juste pour affirmer le côté psychologique), plutôt fastidieuses, mais dans l'ensemble supportables. Par ex. mettre mon mari à genoux sur des punaises pendant X temps, occupé à une autre tâche ou non. Si la tâche est sexuelle (tout simplement me lécher par ex.), l'effet de sa douleur est multiplié par mon plaisir correspondant ; si la tâche n'est pas sexuelle (cirer mes bottes par ex. ou rester totalement figé), il aura le temps de réfléchir sur sa condition.

La troisième n'est pas toujours facile à trouver, car elle dépend de la faute, mais quand elle est formulée et appliquée, elle a la particularité d'être impossible à oublier.

Une fois, il y a quelques années, il a joui dans mon ventre alors que je le chevauchais, sans me demander une autorisation "last second". Comme en ce temps je lui accordais/imposais un orgasme d'office le premier jour de chaque saison, et comme on était en octobre, il perdit les autorisations de décembre et de mars. Sa prochaine fois programmée ne fut qu'en juin de l'année suivante.
En fait, en cette circonstance particulière, j'associai aussi les 2 autres sortes de punitions parce que j'estimai la première insuffisante puisque, étant habitué à ne pas jouir 361 jours/an, augmenter son abstinence à 362 ou 363 n'aurait pas changé grand chose. Donc, le soir, avant de venir au lit, je lui administrai 5 baisers de cravache sur chaque fesse, ceci pendant 7 jours de suite. Pourquoi 7 jours ? Pour lui laisser le temps de réfléchir à son erreur et de comprendre qu'il n'a d'autre possibilité que d'obéir à mes règles. Il dut assimiler à fond l'idée que le contrôle de ses orgasmes est le cœur de mon autorité sur lui. Sans ça tout s'effondre. C'est ce qui fait fonctionner toute notre relation dans laquelle, par conséquence, je suis celle qui exerce le pouvoir de décider tout le reste également. Or, j'ai constaté qu'après un orgasme, 'il lui faut 7 jours de chasteté pour redevenir totalement dévoué. Le punir pendant 7 jours a permis de lui faire payer les jours où il n'était pas en pleine et due forme pour me servir. Pourquoi seulement 5 coups de cravache ? Non pas par pitié, mais pour avoir, tous les jours, de l'espace vierge à rougir. À la fin des 7 jours, 35 marques sur chaque fesse lui avaient coloré complètement le derrière. Depuis, il n'a jamais plus répété cette faute.
La punition spécifique fut facile et je l'administrai immédiatement : je me levai en gardant les lèvres de ma fente fermées avec mes doigts et je lui dis : "Tu es responsable du dommage, maintenant tu nettoies." Je m'installai à la verticale sur sa bouche, je lâchai mes lèvres et son jus mêlé au mien coula dans sa gorge. Puis je lui donnai mes doigts à lécher. J'appréciai son expression de dégoût tout le long de cette opération e ceci me fit comprendre que la punition obtenait l'effet voulu. Heureusement, grâce à son entraînement à l'obéissance déjà acquise, il obtempéra sans rechigner. En savourant son dégoût il comprit ses dégâts. Le fait qu'ensuite j'aie joui par sa langue ne m'a pas vraiment dédommagée, car je voulais jouir de son sexe, mais j'y ai gagné en qualité de son dressage.

D'ailleurs, depuis cette fois-là (où j'ai joui très fort avec sa langue pendant qu'il dégustait nos jus), je lui impose ce service chaque fois que je le fais vider dans mon ventre (maintenant je le fais jouir plus souvent, car il a finalement appris à rester dévoué, orgasme ou pas). Et le fait que ça me plaise suffit à le lui imposer sans que ce soit considéré une punition. En fait, depuis le temps qu'il le fait, je crois que désormais il aime ça aussi. C'est aussi une façon qu'il a de montrer combien il reste à mon service même quand il jouit. Psychologiquement et sexuellement parlant, il n'a pas (et ne doit pas avoir) de répit, sinon toute l'éducation précédemment imposée flanche. Pratiquement, il a souvent du répit, des pauses même longues où il a le temps de se reposer ou de s'occuper de ce qui l'intéresse. Mais c'est moi qui lui accorde ces moments. Pour revenir à l'exemple qui n'est désormais plus une punition mais qui est devenu un simple service, pour que ça redevienne une punition j'ai trouvé mieux : quand je veux qu'il me pénètre, je lui fais porter un préservatif ; puis, quand il le remplit de sa semence, je le conserve dans le congélateur et quand l'occasion se présente, je le punis en lui faisant savourer cette glace au parfum très personnel. À froid, c'est le cas de le dire.


Une réflexion qui me paraît nécessaire car fondamentale. Contrairement à tout ce qu'ont subi les femmes pendant des siècles, où elles n'avaient pas la possibilité de se soustraire à l'éventuelle violence (souvent dans la colère) de leurs maris, ce que doit subir un mari soumis n'a rien de tel. Il est libre de partir ou de s'y soustraire à tout moment, il a choisi (ou permis) que sa relation avec sa femme soit gérée par sa compagne e il constate les bénéfices de la gestion féminine tous les jours, de loin plus importants que quelques petites douleurs physiques.

Par gestion de la Femme de la relation avec son mari, j'entends bien sûr une relation où la Femme décide de tout, selon son plaisir mais aussi selon son sens esthétique, son sens de la justice et sa philosophie de vie en général. Une relation où la Femme a le pouvoir et l'autorité (accordés à la base également par son mari) de prendre toutes les décisions avec une liberté totale, à partir de l'emploi du temps de son mari avec son cahier de charges régulières (ménage, bureau, famille, comportement en privé et en public etc.) et occasionnelles (services imprévus), jusqu'au choix des dates et lieux de vacances, en passant par le choix des personnes à fréquenter et bien sûr le contrôle des plaisirs sexuels du mari qui maintient, entre autres, son désir à travers le port régulier d'une ceinture de chasteté.

Pourquoi le punir ?

Ça peut paraître trop simple comme réponse, mais la vérité est flagrante : parce que ça marche !
On peut analyser les conditions, les effets collatéraux et tout ce qu'on veut, philosopher autour du pot et théoriser toutes sortes de systèmes, mais la perspective d'une punition induit le mâle soumis à bien se tenir. Et une fois discipliné, il n'en sera que plus fier lui-même ! Voilà pourquoi la femme dominante doit être inflexible. Et plus elle a montré (au début), et continue de prouver (à tout moment où c'est nécessaire) qu'elle est sérieuse, qu'elle punit réellement, moins elle devra le faire par la suite. Et tout roulera au mieux dans le couple, même tout ce qui n'a rien de sexuel (même si pour l'homme tout deviendra sexuel).

Les femmes qui n'aiment pas les instruments classiques (canne, badine, fouet, cordes, pinces etc.) peuvent utiliser tout ce qui leur semble bon, mais l'efficacité d'une cravache quelconque reste unique. Pour punir à la main, la femme doit posséder une personnalité extrêmement forte, un caractère naturellement dominant, qui fait qu'elle n'ait besoin de rien. Ce qui n'est pas toujours le cas.
Aussi, se servir d'outils permet de calibrer la punition, quel que soit la force, l'humeur ou l'expérience de la femme. Enfin, psychologiquement, pour le mâle, la simple vue et l'évocation de l'instrument, voire la moindre pensée que cet/ces instrument(s) existe(nt) dans la maison à la disposition de sa femme, qui les utilise quand elle l'estime nécessaire, est un élément dissuasif aphrodisiaque et irremplaçable.

Il y a des fautes à sanctionner tout de suite, d'autres pour lesquelles il vaut mieux attendre le moment prévu. Certaines fautes demandent une seule punition, ponctuelle ; d'autres requièrent une punition répétée ; d'autres encore prévoient une punition continue pendant un temps donné ou de durée indéterminée.

La justice est une chose sérieuse, outre que utile et parfois amusante. Pour bien faire, j'ai institué le "procès". Il s'agit d'un moment, généralement le soir avant de dormir, où mon mari doit commencer par la confession de ses péchés du jour (ou depuis la dernière fois qu'il a été jugé en procès) - et s'il en oublie j'ajoute ceux que j'ai notés - ; puis il demande pardon et il doit aussi demander à être puni selon les règles (que j'ai) établies et selon mon gré ; après quoi j'émets la sentence et enfin arrive la punition proprement dite. Après qu'il a tout enduré sans se plaindre, je lui accorde mon pardon. Et nous sommes quittes. Vous remarquerez qu'il n'est pas prévu de plaidoyer. On ne tente pas de justifier ses fautes. On les énumère, il demande pardon et il est puni.

Je peux monter un procès quand je veux, je n'ai qu'à le lui annoncer. De toutes façons, plus la journée avance, plus il s'y attend. Et une règle que j'ai instaurée est qu'il doit éventuellement me le rappeler, au cas où il me voyait me coucher sans que je l'aie convoqué.

Il n'est pas rare que, une fois le procès annoncé, je le fasse attendre, en position (à genoux), plusieurs minutes, voire plus si ça me dit. Une fois je l'ai fait attendre plus d'une heure et demie, pendant que j'étais occupée à autre chose. Il m'arrive aussi de l'annoncer par téléphone : je lui impose de m'attendre en position et de commencer à rédiger sa confession sur un carnet qu'il lira à mon arrivée.

D'habitude, pour le procès, je suis assise confortablement sur une chaise longue mais il m'arrive d'être debout ou déjà couchée dans mon lit, pour écouter ses aveux, qu'il doit impérativement prononcer à genoux. Tout : la situation, son attitude, mon pouvoir immense sur lui et sur notre relation de couple font que mon esprit jouisse et se relaxe. Je me sens pleine de son amour, car il profite bien de ce moment pour s'évertuer à me l'avouer dans toutes les sauces. C'est un moment où je sais que je vais avoir satisfaction, j'aboutis toujours assouvie. Je sais également qu'il en a besoin pour mieux repartir du bon pied, pour s'améliorer, pour m'aimer davantage et me le montrer. Souvent je m'amuse bien, surtout quand il confesse des fautes que je n'avais même pas remarquées. Enfin, je ne vous cache pas que le préliminaire de la confession me procure une jouissance parfois même physique. L'entendre déclarer ses fautes, puis se morfondre en excuses me fait fondre de satisfaction. C'est une pratique que je conseille à toutes les femmes, même celles qui n'ont pas une relation de domination sur leur mari. Tout le long de cette première partie, il doit me regarder droit dans les yeux, car je dois m'assurer de sa sincérité, il doit sentir la honte pour ses erreurs et il doit trouver le courage d'assumer ses responsabilités.
Quand toutes ses fautes sont bien clarifiées, je lui demande comment aurait-il pu éviter de les commettre, ce qu'il aurait du faire au lieu de. S'il ne répond pas d'une façon satisfaisante, je lui suggère la solution qu'il doit répéter afin de la mémoriser et assimiler pour la mettre en pratique à la prochaine occasion.
Suit donc sa demande de mon pardon, explicitée par la punition qu'il sait de mériter (si c'est une faute réglementée). Là il doit avoir la tête baissée ainsi que son regard, et là aussi c'est un moment très jouissif pour moi. Je le regarde de haut en bas et je profite de ce qu'il m'offre : tout soi-même. Par amour ! Je peux disposer de lui comme je l'entends, c'est fantastique.
À ce point, je prononce la sentence et je rappelle d'éventuels restes de punitions précédentes à lui infliger. Il doit alors prononcer son acceptation et exprimer un commentaire équivalent à dire que tout ceci est bien juste et qu'il mérite tout ça.
Enfin arrive le moment de la punition proprement dite. Pour l'exécution des châtiments corporels, parfois je l'attache (je déteste qu'il puisse bouger ou se soustraire aux coups), parfois je l'oblige à l'immobilité sous peine de sanctions plus dures. Parfois encore, quand je n'ai pas envie de lever le bras, je l'oblige à l'auto-punition. C'est rare car c'est une forme de punition où il n'y a pas cette symbiose qui se crée quand c'est moi qui le punis, ça arrive quand je veux ajouter un brin d'humiliation et de dédain.
Pour les punitions corporelles, le dernier coup abattu, il doit me remercier de la punition. Sinon, c'est à l'aboutissement de la tâche, ou de ce dont la punition est composée, qu'il doit me remercier pour lui avoir donné la possibilité d'expier.
Seulement à ce moment précis, je lui accorde mon pardon. Et il me remercie encore une fois, cette fois-ci de mon pardon, m'embrasse naturellement les pieds et renouvelle sa dévotion pour moi. Si je ne l'arrête pas, il doit parcourir avec ses lèvres mes pieds, mes chevilles, mes jambes et plus haut, jusqu'à me faire jouir.

Personnellement, je n'ai pas utilisé une grande variété d'instruments de punition dès le début. J'ai commencé par une corde, des pinces et un double décimètre. Avec les années, j'ai petit à petit acheté ce dont je sentais le besoin. Mais, encore maintenant, si nous sommes en promenade, il m'arrive de me servir d'une simple branche ou d'orties, car tout peut faire l'affaire.

Ce qui a beaucoup changé depuis le début, c'est mon expérience acquise et son attitude, désormais résignée à la soumission. Car il sait - il en a eu la preuve - qu'ainsi tout va mieux entre nous.

Maintenant, quand il s'agit de lui faire "apprendre" quelque chose, j'ai aussi appris comment faire. Il ne s'agit pas de lui faire banalement mal. Il faut, à chaque fois, lui faire comprendre qu'il peut et doit mieux faire, pour mieux m'aimer. Je le porte à ses limites et je les lui fais dépasser, juste un peu.

En général, la première fois qu'il commet une faute X, je lui administre une petite correction avec des instruments légers. Rien à craindre pour lui. Mais ça lui montre que la sanction est incontournable et ça lui donne la base de la suite, car s'il répète la faute je redouble à chaque fois le nombre de coups ainsi que l'intensité.
Si la faute est par rapport à une règle institutionnelle, par ex. un manque de respect ou s'il désobéit, en général je note et lui annonce qu'il sera puni pour ça, puis à la fin de la journée, ou au prochain procès, il va en baver.
Si la faute est imprévue, parce que la situation n'est pas inclue dans les règles, par ex. il a raté la cuisson de son nouveau plat, je ne le punis jamais très fort, mais il doit savoir que je ne laisse pas courir. C'est souvent ce cas où je ne lui inflige pas de punition corporelle, mais plutôt un tâche difficile ou ennuyeuse. Un classique c'est de lui faire écrire 100 (ou mille voire plus) fois ce qu'il aurait du faire ou ne pas faire. Pour l'exemple : "Je dois suivre les recettes de cuisine à la lettre".

Pour les punitions corporelles, il est important qu'il en reste les traces sur son corps au moins un jour. Ça lui rappelle son passé, ce qu'il ne doit pas répéter.

Pour les punitions continues (le port d'un petit cilice par ex.) je dois parfois m'assurer que tout aille bien. Au Procès, je lui demande donc comment il se porte avec. Éventuellement je le lui déplace. Mais jamais je lève la sanction avant son terme prévu. Ma crédibilité est en jeu.

J'ai appris que les punitions passives, moindres ou dures qu'elles soient (que ce soit des coups de règle sur la plante des pieds ou une aiguille transperçant son téton) risquent de le rendre paresseux. Il est important de lui infliger aussi des punitions actives, par ex. lui faire renettoyer toute la maison à 4 heures du matin jusqu'au petit déjeuner qu'il m'apportera au lit (toutes les activités qui ne produisent pas de bruit bien sûr : sols à la serpillère, poussière sur les meubles, vitres, salle de bain etc.), ou bien l'envoyer faire du repassage chez une amie pour lui (mon amie) permettre de faire du shopping avec moi entretemps, ou encore lui faire composer des poésies pour moi etc.

Toute punition doit le faire réfléchir. À son erreur, à la possibilité qu'il a, grâce à la punition, de payer pour son erreur, à son comportement qui doit changer afin de ne plus commettre cette erreur. Un mari coupable doit regretter sa faute. Voilà aussi pourquoi les marques rouges d'une fessée à la brosse ou la douleur constante d'une pince accrochée au scrotum sont importantes. Elles lui rappellent constamment son devoir. Et, en passant, il devient automatiquement beaucoup plus docile ! J'utilise d'ailleurs souvent les pinces (à linge quand je veux être gentille, métalliques voire crocodile quand j'exige le maximum de son abnégation) pour une punition préventive quand il est dans l'impossibilité d'obéir immédiatement (c'est son problème). Je lui accroche parfois des pinces (par ex. une au téton, c'est facile et immédiat) et lui ordonne ce qu'il doit faire pour avoir le droit de l'enlever (ranger son bureau par ex.). Ainsi, il sera obligé d'y penser tant qu'il n'aura pas obéi. Il m'arrive de vouloir jouir de sa langue rapidement, quand je suis à la bourre, et je ne veux pas renoncer à un orgasme. En ces occasions, je m'installe dans mon fauteuil et je le fais agenouiller sur des pois chiches entre mes jambes. Vous devriez-voir combien il multiplie son zèle pour me faire jouir au plus vite ! Et si ça ne suffit pas, je lui attache une cordelette aux testicules, que je tire à mon gré et à mon rythme pendant qu'il me fait du bien, pour le stimuler au mieux de ses capacités et obtenir le meilleur service pour mes exigences. Cette dernière solution est d'ailleurs appréciée par mon mari, car il a la garantie de suivre vraiment le rythme qui me plaît et il y gagne aussi en temps et en énergies.

Une fois par mois, grosso modo, je lui inflige une punition forte et douloureuse. Brève si je n'en ai pas envie, longue si je sais qu'il en a besoin. La plus brève ce peut aussi être simplement un grand coup de pied dans ses bijoux (quand je lui ordonne de se mettre à quatre pattes, d'élargir ses jambes et je me place debout derrière lui prenant la mesure de la distance avec mon pied, il sait ce qui l'attend) ; longue sans m'embêter peut être le port d'un plug bouchon dans l'anus enduit d'huile pimentée pendant plusieurs heures ou des culottes remplies de punaises (c'est très amusant de le voire gigoter assis à table, au restaurant, avec des amis par exemple). L'important est de ne pas lui laisser croire que son éducation pourrait s'adoucir : il en profiterait immédiatement.

Que faire s'il se révolte ? S'il n'est pas capable d'endurer une punition, s'il tente d'y échapper, il ne faut pas descendre à son niveau et discuter pour réaffirmer votre position dominante. S'il est attaché, procédez comme prévu et baillonnez-le pour ne pas entendre ses jérémiades. S'il est libre, lâchez prise momentanément et prenez note : au prochain procès, il paiera très fort cette mutinerie.

Une dernière chose est importante : une fois tout le procès terminé, je lui montre, par un grand sourire et une voix douce et amoureuse, que je ne suis plus fâchée avec lui, qu'il est à nouveau dans ma grâce.

En conclusion, il y a 2 éléments clé pour réussir une bonne relation où la Femme domine son mari :
1) Le contrôle de la Femme sur les orgasmes (principalement niés), pour que le mari soit toujours désireux, soucieux de bien servir la Femme, attentif et, au total, soumis.
2) La punition du mâle, pour en éduquer le comportement.
Le contrôle du plaisir sexuel affecte le domaine spirituel du mâle, les punitions apprivoisent son physique à vivre sa soumission.
Le contrôle du plaisir sexuel est efficace à long terme, les punitions le sont immédiatement.

Si les punitions corporelles sont correctement appliquées, elles sont aussi une excellente arme dissuasive et un moyen de renforcer le pouvoir de la Femme.

27/10/12

Un mari soumis, une Femme épanouie / 7 / chapitre 5

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26/10/12

Un mari soumis, une Femme épanouie / 6 / Chapitre 4


Chapitre 4 : La relation au quotidien : vos comportements respectifs

Votre comportement et celui de votre mari doivent refléter au quotidien la situation totalement inégalitaire qui s'est instaurée entre vous. Au-delà de la simple obéissance, il y a des comportements plus spécifiques que vous devez lui imposer. Mais il y a aussi des comportements que vous devez Vous imposer.
Petit rappel, sans doute lassant par sa répétitivité : tout ce qui suit n'est concevable et réalisable que dans la mesure où votre relation a déjà atteint le niveau ultime de votre relation de domination/chasteté. Pendant la (longue) période de cheminement qui précède ce stade, vous pouvez vous inspirer de ce qui suit mais en version allégée. Par ailleurs, il est possible que certaines des recommandations que je vais formuler ne vous conviennent pas même à un stade avancé de votre relation. Ce n'est pas important, faites comme vous le sentez. La seule chose qui est importante et indispensable, c'est votre emprise sur lui.
Commençons donc par les recommandations sur son comportement :

Son comportement
Les femmes se plaignent souvent du manque de courtoisie, d'attentions, de prévenance de leur homme. Vous avez là une occasion unique de lui faire réviser une éducation "à l'ancienne" qu'il a peut-être un peu oubliée. Exigez donc, en toutes circonstances, la plus extrême galanterie à votre égard : toujours vous laisser passer la première, ouvrir la portière de la voiture quand vous y montez ou descendez, tenir votre chaise quand vous vous asseyez, ne pas vous couper la parole, ne pas élever la voix quand il n'est pas d'accord, ne pas lire son journal quand vous prenez un repas ensemble, vous offrir des fleurs même sans raison etc. Cette rééducation, et ce n'est pas le moindre de ses avantages, vous sera profitable même en dehors des moments de soumission/chasteté.
Outre ces notions de base, qui n'ont rien de spécifiques à une relation de soumission, vous vous devez de lui imposer certaines obligations pour que sa dépendance psychologique envers vous soit entretenue et confortée par les comportements qu'il devra avoir à votre égard. Il prendra ainsi mieux conscience de sa place et de son rôle :
  • Sauf bien sûr devant les enfants ou les amis, il doit vous vouvoyer et vous appeler comme vous le désirez (Madame, Maîtresse, Ma Reine ou comme bon vous semble), à vous de choisir un vocable qui soit différent de celui qu'il utilise habituellement et qui marque une forme de respect et de distance. Cela vous paraît peut-être puéril, caricatural voire ridicule, détrompez-vous : c'est plus important que vous ne le pensez et vous constaterez par vous même qu'avec le temps sa relation à vous et son comportement changeront, du seul fait du vouvoiement et du titre.
  • Il doit toujours être propre (surtout les pieds, les aisselles et les parties intimes) et présentable. Toujours rasé et bien fringué, sauf dispositions particulières de votre part.
  • Lorsque vous arrivez à la maison après une absence, il doit aussitôt venir à votre rencontre, se mettre à genoux et vous accueillir dans les termes que vous aurez définis. Il ne se relèvera que sur votre autorisation. Ainsi, il prendra plus facilement l'habitude de lever le nez de son journal ou de ne pas garder les 2 yeux scotchés sur la télévision quand vous arriverez !!!
  • Vous devez définir la relation qu'il pourra avoir à votre corps : vous pouvez par exemple lui interdire complètement de vous toucher sauf autorisation contraire. Pour ma part je n'ai pas trouvé cela satisfaisant du tout, je préfère lui donner une autorisation permanente de m'embrasser la main lorsque nous sommes en public (c'est si délicieux car désuet et rare !), tous les autres attouchements lui sont interdits, il doit me demander l'autorisation et selon mon humeur je peux la lui accorder, la lui refuser ou même le punir pour avoir simplement demandé (son ton inquiet quand il demande est si délicieux !). Conséquence merveilleuse : il a de nouveau envie de vous embrasser et de vous toucher à tout instant !!! La privation a décidément du bon !
  • Lorsque vous êtes installée au salon, il devra être à vos pieds, ou en tout autre endroit que vous lui désignerez. Je vous conseille de toujours lui faire tourner le dos à la télé quand vous la regardez, son seul spectacle doit être Vous. Surtout pas d'exceptions pour le sport, vous serez surprise de constater que ce qui paraissait totalement impossible auparavant devient réalisable dans ces circonstances !!!). Si vous pensez devoir faire malgré tout une exception pour un événement exceptionnel (Finale de Coupe du Monde de football ou autre), faites en sorte d'organiser une soirée avec des amis dans ce but, ainsi vous ne lui donnerez pas l'impression de céder.
  • Il ne doit jamais prendre son repas dans les mêmes conditions que vous (il y a bien trop d'occasions ou vous ne pourrez pas faire autrement à cause des enfants, de la belle-mère ou des amis !). Il doit vous servir à table (même si c'est vous qui avez préparé le repas), se lever à toutes instances (aller chercher quelque chose et s'excuser d'avoir oublié de l'apporter à table avant, répondre au téléphone ou à l'interphone, obéir immédiatement à un souhait que vous exprimez etc.) et, s'il n'a pu manger à votre rythme parce que vous l'avez occupé, manger après vous ou dans des conditions différentes de la vôtre (voir plus loin quelques idées sur les jeux de nourriture).
  • Demandez-lui de préparer votre bain, de vous laver, de vous masser (les pieds et la nuque, hum !). Obligez-le à vous porter le café ou le petit déjeuner au lit tous les matins. Là aussi, vous constaterez que l'impossible est maintenant devenu réalisable : le faire sortir du lit le matin avant vous !
  • Si vous ne dites rien, il doit prévoir de faire la cuisine et faire les courses au préalable. Après avoir mis la table, il doit présenter le repas, prêt au bon moment. Il rangera le tout et fera la vaisselle dès qu'il le peut.
  • Il lui est interdit, sous peine de punitions sévères qu'il faudra toujours appliquer, sur le champ ou dès que cela devient possible (surtout n'oubliez pas, c'est IMPÉRATIF : votre crédibilité y est en jeu) :
    • de vous couper la parole en privé comme en public
    • de vous contredire en privé comme en public même et surtout si vous avez tort
    • de ne pas obéir à vos demandes : toutes vos demandes sont des ordres absolus.
    • d'entreprendre une quelconque action sans vous demander au préalable l'autorisation (sortir, fumer, regarder la télé, lire le journal, bricoler, aller aux toilettes, jouer sur l'ordinateur, passer des coups de fil au téléphone, envoyer des textos, ouvrir le courrier etc.) : lorsque vous êtes seuls ensemble il doit être, à tout instant, à votre seule et entière disposition en attente de vos ordres.
    • Exigez que, lorsque vous êtes avec des ami(e)s, il vous fasse publiquement au moins un compliment appuyé ou dise qu'il vous aime, qu'il vous est très attaché ou à quel point il dépend de vous. Il est rare qu'un homme fasse des compliments à sa femme en public, ne vous privez surtout pas de ce plaisir probablement nouveau pour vous !!!
D'expérience, je vous conseille d'inclure les éléments de la vie quotidienne dans la liste des obligations qu'il doit respecter, mais d'éviter d'incorporer les éléments de sa vie professionnelle ou familiale ou les imprévus qui pourraient le conduire à être puni. Par exemple, pas de sanctions en relation, même indirecte, avec ses obligations professionnelles, ni s'il a cabossé la voiture, ni s'il oublie de prendre son traitement médical, ni s'il ne réussit pas à obtenir que le plombier vienne terminer les travaux qui ne sont toujours pas finis ! Par contre, exigez que le ménage soit toujours parfait !!!


  • Il doit s'occuper de tout le ménage sans vous gêner. Quand vous êtes absente, il fera les travaux plus bruyants ou dérangeants (aspirateur, rangement de la vaisselle, battre les tapis etc.) ; les autres pouvant être faits à tout moment. Tout doit toujours être nickel : sols parfumés (passés au chiffon à genoux c'est mieux), meubles, lampadaires et cadres sans poussière, fenêtres et miroirs transparents, chemises parfaitement repassées, linge rangé dans les armoires, cuisine (dont fours traditionnel et microondes et plaques chauffantes) étincelante, frigo propre et rangé, lit impeccable. N'oubliez surtout pas de lui faire ranger tout ce que vous laisserez traîner dans la maison !
D'une manière générale, lorsque vous êtes à la maison ou dans une situation où cela est possible, vous devez prendre l'habitude de ne jamais le laisser complètement libre de ses mouvements : maintenez-le toujours plus ou moins occupé, c'est indispensable pour qu'il sente en toutes circonstances qu'il est totalement dépendant de vous. Si vous lui avez assigné une tâche particulière ou s'il doit accomplir un travail quelconque, adaptez simplement des mesures pour qu'il ne dispose que de la liberté de mouvement nécessaire. Lorsque vous avez quelque chose à faire ou tout simplement lorsque vous voulez vous reposer, lire ou ne rien faire et ne savez quoi lui imposer, gardez-le près de vous ou dans une autre pièce, immobile attendant le prochain ordre, vous serez sa seule pensée. Donnez-lui un cahier à remplir avec ses confessions, ses bonnes résolutions pour mieux vous faire plaisir etc. Autrement, il se vautrerait devant la télé ou irait surfer sur Internet, ce qui endommagerait tout le parcours psychologique que vous vous donnez tant de mal à lui faire suivre.

Votre comportement
Si les obligations qui pèsent sur lui sont lourdes, sachez que, pour ce qui vous concerne, elles le sont tout autant et peut-être plus même car en toutes circonstances, c'est à vous que reviennent la plupart les initiatives. Sachez que la période que vous allez vivre n'est pas de tout repos, mais le résultat vaut mille fois les efforts que vous devrez consentir.
Voici donc vos comportements qui sont le complément indispensable à l'obtention de ce que vous exigez de lui :
  • exacerbez votre féminité : évitez toute banalité dans vos tenues, soyez raffinée, " coquette " comme disaient nos parents. Sublimez toujours votre féminité par vos tenues : tous les archétypes de la séduction doivent y passer : talons hauts, bas, porte-jarretelles, guêpières, déshabillés, sont des musts auxquels peu d'hommes résistent. Augmentez la quantité de votre maquillage, sophistiquez votre coiffure et ce en toutes circonstances, même et surtout quand vous êtes seuls à la maison. Dans la journée donnez-vous un look qui soit à la fois raisonnablement sexy (vous devez être pour lui une source permanente d'excitation), strict (c'est vous qui commandez), sophistiqué (il doit vous diviniser). Tout comme la galanterie pour les hommes, ces comportements n'ont rien de spécifiques à une relation de domination, je suis souvent étonné de constater que les femmes qui reprochent à leur mari de tourner la tête sur les jolies femmes habillées sexy et maquillées ne songent pas un instant à se parer des mêmes arguments de séduction !
  • soyez différente : vous lui imposez un comportement différent, alors, vous aussi, soyez différente, soyez une autre et ce, tant par votre comportement que par vos tenues : renouvelez, au moins partiellement, votre garde-robe, changez de bijoux. Pour l'intimité, achetez-vous des tenues provocantes (le vinyle noir ou rouge fait un effet dévastateur).
  • soyez hautaine mais charmeuse, distante mais enjôleuse, sévère mais tendre, hiératique mais attentive, en un mot soyez femme, soyez garce. Il ne doit jamais savoir à quoi s'attendre avec vous, son incertitude accroîtra sa dépendance.
  • protégez vos mystères : si possible, évitez de vous montrer nue, vous ne devriez pas vous habiller et vous déshabiller devant lui. Obligez-le à se tourner quand vous le faites, bandez-lui les yeux quand vous voulez être nue. Vous n'en serez que plus désirable et désirée.
  • soyez imaginative : pour cela, créez des situations nouvelles, des scénarios nouveaux, des obligations nouvelles en public comme dans l'intimité. Chaque fois que vous le pourrez, organisez votre intimité dans des lieux autres que votre appartement : trouvez des lieux inattendus où vous pourrez vous isoler. N'improvisez pas, préparez ces nouveautés à l'avance, réfléchissez-y longuement lorsque vous êtes seule (c'est un sujet idéal pour s'évader dans les réunions barbantes), essayez de définir les éléments qui vous seront nécessaires pour ces scénarios, pensez aux impossibilités et essayez de trouver les moyens de les contourner : rien de plus désagréable que de commencer un scénario et de réaliser soudain que l'on est dans l'impossibilité de continuer ou qu'il manque un élément essentiel à sa réalisation, votre prestige en souffrirait gravement.
  • soyez imprévisible : punissez-le sans raison et sans le prévenir et ensuite dites-lui que vous en aviez tout simplement envie.
  • Testez souvent son obéissance : Envoyez-le soudainement faire vite une chose dont il ne doit pas comprendre l'utilité. S'il vous questionne, remettez-le à sa place. S'il rechigne ou vous l'estimez nécessaire, punissez-le.
  • Aidez-le à mieux faire. Vouloir vous servir ne rime pas avec réussir. Alors, quand il flanche, ou il oublie, rappelez-lui ses devoirs. N'hésitez pas à lui imposer des pratiques qui lui maintiennent la mémoire vive, comme lui dicter les règles générales (que vous pouvez changer à tout moment), les tâches du jour, les commissions spéciales. Vous pouvez lui en écrire sur la peau au feutre sur son corps ou sur une pince à linge que vous lui accrocherez quelque part (gênant ou sensible : nez, oreille, sourcil, téton, scrotum etc.) et qu'il ne pourra qu'enlever ou effacer que lorsque la mission sera accomplie.
  • Définissez ses droits lorsque vous êtes en public, selon qui est avec vous (enfants, famille, amis, inconnus). Par exemple, chez des amis, il devra vous interroger du regard avant de s'asseoir, de se lever, de manger ou de fumer.
  • Prenez les finances en main. Veillez à ce qu'il ne dispose que du strict nécessaire pour les courses ou la manutention de la maison. Sans ça, il ferait bien trop de gâchis. Comme ça, dépourvu de moyens financiers indépendants, il s'évertuera pour stimuler votre bonté de lui permettre d'acheter ce qu'il aimerait.
  • Si votre mari est sensible à vos parfums personnels, ou si vous aimez qu'il le devienne, nourrissez-le de vos essences régulièrement. Votre sueur, votre salive, vos humeurs etc. Tout doit faire partie de sa diète quotidienne. Personnellement je lui impose très naturellement de lécher mes pieds après avoir longtemps marché dans des basket ou des bottes en cuir, je lui fais avaler mes jus d'excitation et de jouissance, je me fais nettoyer de sa langue après qu'il a joui dans mon ventre, je lui fais boire mon urine à la source (ou au verre s'il n'est pas sage, car il déteste ça), je lui fais sucer mes blessures quand je me blesse, je libère mes gaz dans son nez quand il est occupé à me lécher l'anus, je lui mets parfois une culotte imprégnée d'urine dans la bouche pendant qu'il fait le ménage etc. C'est très peu de chose pour un très grand résultat.
  • Contrôlez son abstinence sexuelle, maintenez-la en tension. Si vous décidez de le "vider", pensez qu'ensuite il aura davantage besoin d'aide à vous obéir. L'idéal reste la chasteté complète permanente, mais si - parce que ça vous amuse ou pour toute autre raison - vous le faites jouir, il doit apprendre à vous en remercier activement immédiatement après et à refouler toute envie de pause psycho-physique. C'est pour cela que personnellement je lui impose toujours de me nettoyer avec sa la langue ou de me caresser les pieds ou le dos jusqu'à ce que je m'endorme.
  • soyez intransigeante sur le respect des obligations que vous lui imposez. Ne laissez rien passer. Les punitions peuvent être appliquées sur le champ, dès que cela devient possible, voire à un moment spécifique. L'idéal est de prendre note de ses fautes pour lui infliger toutes les punitions au moment établi. La seule idée que vous preniez votre calepin et un stylo lui donnera un meilleur comportement. Les punitions doivent être principalement physiques (pour qu'il prenne conscience que son corps vous appartient totalement), les punitions psychologiques sont utiles après un certain niveau. Les punitions doivent être réelles et plus sévères au fur et à mesure qu'il devient plus endurant : vous n'aurez atteint votre but que lorsque vous constaterez qu'il vous craint vraiment et qu'il a réellement peur de vos punitions. À ce moment là il n'y en aura d'ailleurs plus besoin.

Comme je l'ai mentionné dans ses obligations, il doit vous servir. Mais à ce sujet une mise en garde s'impose : s'il n'est pas interdit de le déguiser en bonniche avec coiffe, petit tablier blanc et fesses à l'air si ça vous chante, ou de tout lui laisser faire en jean, rappelez-vous qu'il associe ses services à un plaisir sexuel (refoulé, mais sexuel). Même en lavant le parquet où en repassant vos chemises, il pensera à vous en tant que Femme. Montrez-lui, de temps à autres, que vous ne l'oubliez pas. Gratifiez-le en lui confiant une vraie tâche sexuelle (vous faire plaisir avec la bouche est un classique peut-être banal, mais ça reste le plus efficace).
Ceci en tête (dans la sienne comme dans la vôtre), vous pouvez et devez tout lui imposer : salle de bain toujours nickel, lit toujours refait, vitres toujours brillantes, plus de poussière dans les livres etc.
Si vous le voyez vraiment fatigué, ne lui en demandez pas plus qu'il ne pourrait. Par contre ajoutez des tâches symboliques qui lui feront prendre conscience qu'il est à votre service (vos slips à la main) et ménagez-lui des plages plus reposantes, c'est indispensable sur la durée. Par contre, évitez toujours et partout le moindre relâchement dans la discipline.

Un mari soumis, une Femme épanouie / 5 / Chapitre 3

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