Depuis quelques temps mon mari semble oublier de ranger mes affaires. Si je laisse traîner mes chaussures dans l'entrée, il ne les remet pas dans l'armoire à chaussures ; si je pose mon peignoir sur le lit après la douche, il attend que je lui fasse la remarque quand je vais me coucher ; si le soir mon portable reste sur le divan, il ne le remet pas en charge etc.
Pensez-vous que je puisse admettre une tel laisser-aller ?
Et savez-vous comment je vais corriger ça ? Aussi simplement que possible : je vais systématiquement tout laisser traîner. Il va constamment devoir ranger mes affaires, sous peine de lui interdire les toilettes par ex. Il apprendra ainsi qu'il a bien eu de la chance jusqu'à présent. Et quand il aura appris la leçon je crois qu'il ne rechignera plus de ranger derrière moi, il sera même content que le travail ne sera pas si dur !
Maris soumis
22/10/13
19/10/13
Les bonnes manières ça s'apprend
Mon mari ouvre les portes devant moi et me laisse toujours passer la première, quand on s'assoit à table, il place ma chaise sous mes fesses et ne s'assoit lui-même qu'après moi. Il me sert à table et attend que je finisse mon assiette pour passer à la suite du repas, il sait qu'il ne doit pas m'interrompre ni me contrarier, surtout en public. Et cætera et cætera. La liste est longue, dans l'ensemble je suis assez satisfaite. Or c'est justement ce mot "assez" qui me contrarie un peu. Je ne vois pas pourquoi je devrais me contenter, alors qu'il y a défauts qui sont intolérables. Je ne comprends pas ce qui l'empêche d'apprendre certaines bonnes manières.
Je me dois de l'aider à s'améliorer dans ce sens, non seulement pour une question de respect pour moi et ma sensibilité, mais aussi pour lui-même. Il m'en sera reconnaissant.
Par ex. puis-je accepter qu'il mette ses doigts dans le nez comme un gamin ? Qu'il crache son glaire par terre dans la rue comme un clochard, qu'il oublie de me faire les compliments qui se doivent en sortant de chez le coiffeur etc. ? J'imagine que l'effort pour lui est si important qu'il a un blocage et son éducation flanche.
Eh bien, il est temps d'en finir. Il sait très bien que certaines choses ne se font pas, d'autant plus en ma présence. Je m'en fiche qu'il soit enrhumé. S'il produit du catarrhe, il n'a qu'à l'avaler. Il dit que ça le dégoûte. Et alors ? Je vais lui faire avaler le mien, quand j'en ai, pour l'habituer à l'aimer. Quand j'en aurai, je vais le lui cracher dans la bouche et je vais le lui faire garder un bon moment pour savourer, avant de le lui faire avaler et remercier. S'il persiste, je suis désolée, mais je vais le punir. J'espère que la seule menace de l'enfermer dans la boîte, sans savoir pour combien de temps, suffise pour qu'il se tienne bien.
Le dressage commence tout de suite. Rien ne sera plus toléré dès maintenant.
Dans quelques temps, je vous dirai ce qu'il en est.
Bon week-end à tous
Je me dois de l'aider à s'améliorer dans ce sens, non seulement pour une question de respect pour moi et ma sensibilité, mais aussi pour lui-même. Il m'en sera reconnaissant.
Par ex. puis-je accepter qu'il mette ses doigts dans le nez comme un gamin ? Qu'il crache son glaire par terre dans la rue comme un clochard, qu'il oublie de me faire les compliments qui se doivent en sortant de chez le coiffeur etc. ? J'imagine que l'effort pour lui est si important qu'il a un blocage et son éducation flanche.
Eh bien, il est temps d'en finir. Il sait très bien que certaines choses ne se font pas, d'autant plus en ma présence. Je m'en fiche qu'il soit enrhumé. S'il produit du catarrhe, il n'a qu'à l'avaler. Il dit que ça le dégoûte. Et alors ? Je vais lui faire avaler le mien, quand j'en ai, pour l'habituer à l'aimer. Quand j'en aurai, je vais le lui cracher dans la bouche et je vais le lui faire garder un bon moment pour savourer, avant de le lui faire avaler et remercier. S'il persiste, je suis désolée, mais je vais le punir. J'espère que la seule menace de l'enfermer dans la boîte, sans savoir pour combien de temps, suffise pour qu'il se tienne bien.
Le dressage commence tout de suite. Rien ne sera plus toléré dès maintenant.
Dans quelques temps, je vous dirai ce qu'il en est.
Bon week-end à tous
17/10/13
Ce qui parait le plus difficile peut être le plus simple du monde
Comme vous le savez, je dicte les articles de ce blog à mon mari qui les écrit et publie. Après le dernier d'il y a quelques jours, mon chéri a eu l'intelligence de prévoir les coups d'une partie que je m'apprêtais à jouer d'avance. Il a compris que mes menaces n'étaient pas pour rire et depuis j'ai entendu plus de "Je te demande pardon mon amour, je suis désolé, je ferai de tout pour ça ne m'arrive plus" qu'en un an !!!
J'espère, surtout pour lui, qu'il n'oubliera pas cette leçon apprise si vite car il n'en souffrirait qu'infiniment plus...
Je l'adore : jamais j'aurais imaginé qu'un problème qui me paraissait grand comme une montagne puisse disparaître magiquement en un rien de temps. Il a changé, je l'ai fait changer, il n'a plus ce côté du caractère si agaçant. Son orgueil a fléchi face à ma décision, grâce à l'amour qu'il me porte. Quel beau mix !
J'espère, surtout pour lui, qu'il n'oubliera pas cette leçon apprise si vite car il n'en souffrirait qu'infiniment plus...
Je l'adore : jamais j'aurais imaginé qu'un problème qui me paraissait grand comme une montagne puisse disparaître magiquement en un rien de temps. Il a changé, je l'ai fait changer, il n'a plus ce côté du caractère si agaçant. Son orgueil a fléchi face à ma décision, grâce à l'amour qu'il me porte. Quel beau mix !
12/10/13
Aider mon mari à apprendre à demander mon pardon
Mon mari m'obéit et c'et déjà pas mal. Il m'aime, je m'éclate, et tout ce que vous savez sur nous si vous lisez notre blog depuis le début. Tout ça c'est très bien, mais il y a toujours des choses qu'il pourrait apprendre à mieux faire car il n'est pas doué en tout...
Demander mon pardon c'est bien une chose qu'il fait peu et mal. Les conséquences ne sont pas si graves, puisque je le punis systématiquement pour ses fautes et il apprend à ne pas les répéter. Néanmoins, je voudrais qu'il comprenne d'une façon générale et non pas ponctuelle que s'il agit mal, il doit réagir de son initiative, sans attendre ma punition pour obtenir mon pardon.
Évidemment chaque situation de faute est différente, mais peu importe : c'est le principe qui compte. Tenez, par ex. la semaine dernière il a osé lever la voix. Je le lui ai fait remarquer mais il a oser plus : il a soutenu que sa réaction était normale car je lui avais fait un tort. Là j'ai eu la sensation que tout l'entraînement que je lui impose depuis des années n'a donc servi a rien ! Il doit comprendre, accepter et désirer que mon plaisir et mes raisons viennent avant tout. "Tout" veut bien dire avant ses raison aussi, enfin !... Il n'y a aucune exception. Et sur ce point il est dur à cuire. Il n'y a pas de semaine qui passe sans qu'il tombe dans le double piège : l'erreur et l'incapacité de demander mon pardon.
Je pense qu'il n'y a qu'une solution : je dois être vache et inéquitable jusqu'à ce qu'il ne change d'attitude. Physique et mentale. Je vais faire et dire tout ce qui lui déplaît, je le pousserai à la faute délibérément et je sanctionnerai toute réaction. Surtout je ne manquerai pas de le punir s'il "oublie" de me demander pardon.
Si vous avez dis idées à me donner, n'hésitez pas.
Pour abattre sa fierté je vais commencer par lui ôter ses forces. Je vais lui saboter son sommeil et dès qu'il manquera d'entrain je le remettrai à sa place. Je veux voir combien il va tenir...
Le soir, après m'avoir fait jouir, je lui imposerai le séjour nocturne dans la boîte, zizi dans la cage bien sûr, mais plug pimenté dans le derrière et mains attachées dans le dos. La nuit je récolterai mon champagne dans une bouteille, qu'il boira le matin.
Avant de sortir, je vais déverser tous nos tiroirs et nos armoires par terre et quand je serai de retour le soir, je veux que tout soit en ordre. Si une seule chaussette est mal rangée, c'est la cravache qui l'attend. En fait je vais le pousser à réagir et c'est surtout là, que s'il ne s'excuse pas immédiatement, je le punirai très durement. De façon disproportionnée. Exprès.
Je vais l'envoyer rendre des services à tous mes amis, même ceux qu'il n'aime pas. Et si j'entends dire qu'il à fait ceci ou cela à la va-vite, je sévirai. Et encore une fois, après l'avoir poussé à me répondre, s'il ne fait pas amende dans les instants qui suivent, je serai vraiment dure.
Enfin et surtout, mais ce n'est pas tout, je vais le blâmer et punir sans raison. Et comme je l'aurai fait exprès, je ne me surprendrai pas d'une réaction inappropriée. Si jamais il ose avoir un coup de tête, je le corrige illico et exigerai ses excuses. Jusqu'à ce qu'il ne change. Il est intolérable qu'après tout ce qu'il s'est engagé vers moi, son côté égoïste ruine notre équilibre.
Je vous tiendrai au courant dès que j'aurai gagné ce défi. Je suis sûre d'ailleurs, qu'une fois qu'il aura appris la leçon, il m'en sera reconnaissant.
Fièrement à vous
Demander mon pardon c'est bien une chose qu'il fait peu et mal. Les conséquences ne sont pas si graves, puisque je le punis systématiquement pour ses fautes et il apprend à ne pas les répéter. Néanmoins, je voudrais qu'il comprenne d'une façon générale et non pas ponctuelle que s'il agit mal, il doit réagir de son initiative, sans attendre ma punition pour obtenir mon pardon.
Évidemment chaque situation de faute est différente, mais peu importe : c'est le principe qui compte. Tenez, par ex. la semaine dernière il a osé lever la voix. Je le lui ai fait remarquer mais il a oser plus : il a soutenu que sa réaction était normale car je lui avais fait un tort. Là j'ai eu la sensation que tout l'entraînement que je lui impose depuis des années n'a donc servi a rien ! Il doit comprendre, accepter et désirer que mon plaisir et mes raisons viennent avant tout. "Tout" veut bien dire avant ses raison aussi, enfin !... Il n'y a aucune exception. Et sur ce point il est dur à cuire. Il n'y a pas de semaine qui passe sans qu'il tombe dans le double piège : l'erreur et l'incapacité de demander mon pardon.
Je pense qu'il n'y a qu'une solution : je dois être vache et inéquitable jusqu'à ce qu'il ne change d'attitude. Physique et mentale. Je vais faire et dire tout ce qui lui déplaît, je le pousserai à la faute délibérément et je sanctionnerai toute réaction. Surtout je ne manquerai pas de le punir s'il "oublie" de me demander pardon.
Si vous avez dis idées à me donner, n'hésitez pas.
Pour abattre sa fierté je vais commencer par lui ôter ses forces. Je vais lui saboter son sommeil et dès qu'il manquera d'entrain je le remettrai à sa place. Je veux voir combien il va tenir...
Le soir, après m'avoir fait jouir, je lui imposerai le séjour nocturne dans la boîte, zizi dans la cage bien sûr, mais plug pimenté dans le derrière et mains attachées dans le dos. La nuit je récolterai mon champagne dans une bouteille, qu'il boira le matin.
Avant de sortir, je vais déverser tous nos tiroirs et nos armoires par terre et quand je serai de retour le soir, je veux que tout soit en ordre. Si une seule chaussette est mal rangée, c'est la cravache qui l'attend. En fait je vais le pousser à réagir et c'est surtout là, que s'il ne s'excuse pas immédiatement, je le punirai très durement. De façon disproportionnée. Exprès.
Je vais l'envoyer rendre des services à tous mes amis, même ceux qu'il n'aime pas. Et si j'entends dire qu'il à fait ceci ou cela à la va-vite, je sévirai. Et encore une fois, après l'avoir poussé à me répondre, s'il ne fait pas amende dans les instants qui suivent, je serai vraiment dure.
Enfin et surtout, mais ce n'est pas tout, je vais le blâmer et punir sans raison. Et comme je l'aurai fait exprès, je ne me surprendrai pas d'une réaction inappropriée. Si jamais il ose avoir un coup de tête, je le corrige illico et exigerai ses excuses. Jusqu'à ce qu'il ne change. Il est intolérable qu'après tout ce qu'il s'est engagé vers moi, son côté égoïste ruine notre équilibre.
Je vous tiendrai au courant dès que j'aurai gagné ce défi. Je suis sûre d'ailleurs, qu'une fois qu'il aura appris la leçon, il m'en sera reconnaissant.
Fièrement à vous
01/08/13
En vacance pour me reposer des vacances, en pensant aux prochaines vacances...
Tout c'est passé comme je l'avais souhaité. Mon mari est venu nous chercher à l'aéroport avec les valises prêtes pour l'extension de vacance au Lac. Il nous y a conduits, nous a préparé les chambres, il a cuisiné un bon repas, il a servi a table, remis en ordre la cuisine et il est reparti pour la ville s'occuper des tâches qu'on lui a donné. Sans oublier de me faire un bon cunni pendant que les autres bavardaient dans le salon et il a eu droit à mon champagne en signe de pardon de ma part.
Les travaux chez nous étant pratiquement terminés, l'idée m'est venue de faire prendre des photos à mon mari de notre maison et de m'inscrire à un réseau d'échange de demeures. J'aimerais trouver une villa en Afrique du Sud dont les propriétaires pourraient aimer passer une semaine à Paris dans une très belle maison, vue sur Montmartre. Je pense aussi que comme ils me laisseraient les domestiques de leur villa, il faudra bien que je fasse pareil. Oui, je leur mettrai à disposition mon majordome. Avez-vous deviné qui sera le chanceux serviteur ?
27/07/13
Il n'y a pas deux sans trois
Je profite bien de cette vacances à la mer avec mes deux amis, pendant que mon mari est occupé en ville chez moi et chez mon collègue pour des tâches qui lui laissent la peau blanche. Mon amie m'a d'ailleurs fait remarquer hier soir qu'il pourrait aussi passer chez elle pour une troisième mission, mais malheureusement il est impossible de lui remettre les clefs de l'appartement pour entrer. Je lui ai répondu que j'étais d'accord sur le principe et que je lui reconnaissais un crédit de profiter des services de mon mari dans le futur. Elle n'avait qu'à choisir quoi et quand. Pour rire, elle a proposé qu'au retour en ville il repasse son linge pendant 3 mois, pour être au niveau des autres corvées. Quelle a été sa surprise à ma réplique immédiate de le lui envoyer toutes les semaines pendant un an ! En fait on a tous éclaté de rires, puis on a changé de sujet de conversation.
Mon mari sait que je suis capable de tout pour lui rappeler qu'il doit m'obéir. Il souffre un peu de la distance qui nous sépare ces jours-ci, surtout après que je lui ai dit que mes pieds avaient besoin de soins. En plus, à la plage, mon collègue me met la crème solaire sur le dos - il m'est toujours très reconnaissant pour la chance de prendre des vacances que je lui ai donnée - chose qui provoque une certaine jalousie de la part de mon mari... Et de surcroît je me retrouve à me faire jouir toute seule, quand l'envie me vient ! Je sais, je pourrais prendre un amant, mais pour l'instant ça ne ferait que de compliquer les choses. Enfin bref, tout ceci perturbe mon mari, qui voudrait pouvoir s'occuper de moi de plus près. Il s'en est plaint, et ça je ne le lui permets pas. Je n'admets pas qu'il se plaigne, ni qu'il discute mes dispositions. Mais enfin, on ne peut pas tout avoir dans la vie ! Il mérite une punition.
Je réfléchis à quelle pourrait être une bonne leçon pour lui. En ce moment. En direct... pendant que je lui dicte ce message à poster sur ce blog... voyons, voyons... Trouvé !!!
Il a hâte que je rentre de vacances ? Eh bien, je vais les prolonger ! À notre retour désormais fixé, mercredi prochain, il viendra nous chercher à l'aéroport, prendra nos valises qu'il gardera car il en aura préparées d'autres pour le long week-end qui suit et il nous accompagnera directement au Lac où nous avons un chalet, à 4 heures de route, sans passer chacun chez soi. Mon collègue lui dira ce qu'il doit mettre dans sa valise, moi de même et pour ma copine - qui est de ma même taille - il préparera une deuxième valise chez moi y mettant quelques robes des miennes. Par contre, à l'aéroport, elle lui confiera les clefs de sa maison pour qu'il puisse y aller faire ce qu'on lui dira. Ce n'est pas difficile à imaginer : chez chacun de nous trois, il doit défaire les valises de la Corse, laver, repasser et ranger tout le linge. Aussi, il aura largement le temps de faire le ménage complet dans les trois appartements.
Ah ! Avec cet excellent plan, je retrouve enfin ma bonne humeur, car parfois mon mari a le don de savoir me gâcher les bon moments avec une attitude intolérable. Je veux qu'il apprenne à être totalement enthousiaste de quoi que je fasse. Il sait qu'il doit s'améliorer et il y arrivera. Mais il doit s'appliquer davantage ! Je n'ai aucun doute du résultat, mais quelle patience qu'il faut, avec lui... Enfin, l'important c'est qu'il m'aime et que je sache comment le faire marcher...
Ah ! Avec cet excellent plan, je retrouve enfin ma bonne humeur, car parfois mon mari a le don de savoir me gâcher les bon moments avec une attitude intolérable. Je veux qu'il apprenne à être totalement enthousiaste de quoi que je fasse. Il sait qu'il doit s'améliorer et il y arrivera. Mais il doit s'appliquer davantage ! Je n'ai aucun doute du résultat, mais quelle patience qu'il faut, avec lui... Enfin, l'important c'est qu'il m'aime et que je sache comment le faire marcher...
25/07/13
Vive la Corse !
Mon idée s'est révélée encore plus appréciée que prévu. Je parle de mon collègue, évidemment, car mon mari n'a pas à discuter mes ordres. Il a tenu à me récompenser (moi, bien sûr, pas mon mari) par un beau collier de perles roses pour lui avoir permis de prendre ses vacances sans renoncer au rangement de sa bibliothèque. En plus, ma prévision était plus que juste : mon mari n'a eu besoin que d'un soir pour comprendre le système de classification des livres que mon collègue voulait adopter. Ils ont travaillé ensemble de 17 h. à minuit et ça a suffi pour que mon collègue prenne confiance aux capacités de mon mari. D'autant plus que j'ai suggéré que mon mari rédige un rapport journalier sur l'avancement du travail. Le lendemain mon mari l'a accompagné à l'aéroport (le départ était à 19 h.), avant de se mettre au travail et 2 heures plus tard mon collègue dînait avec nous et j'exhibais mon nouveau bijou. Hier matin, sur la plage, mon collègue m'a montré le rapport que mon mari venait de lui envoyer et moi je lui ai montré la photo sur l'avancement des travaux de notre salon. Ma copine a pensé qu'on devrait lui envoyer une photo de nous trois sur la plage avec un cocktail à la main. Aussitôt dit, aussitôt fait. Mon collègue a dit que j'ai de la chance à avoir un mari pareil. J'ai répondu que c'était normal pour nous, qu'il fasse de son mieux pour réaliser mes souhaits et qu'à mon retour je l'aurais récompensé comme il l'aime. Sans spécifier comment à mes deux co-vacanciers. Mais pour l'instant, on ne devait penser qu'à profiter du soleil et des fêtes en cette magnifique terre. Vive la Corse !
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